Un nouveau ROI est né en ce vendredi 2 mars 2001

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Le compte rendu de MatMat Teddy KGB Le compte rendu de Taz

Taz et moi avions décidé de jouer le tournoi de Texas Hold'em No Limit 200FF de la saison de printemps de l'ACF. Tout devait commencer à 22 heures, et une fois de plus Taz était à la bourre (problème de lessive). J’avais donc pris les devant et filait seul, droit sur les Champs Elysées, pour me rendre au 104. Là je paye mon droit d’entrée ainsi que celui de Taz qui je l’espère en va pas tarder. J’en profite, en l’attendant, pour discuter avec un ami fou de poker rencontré sur Internet (Nico). C’est vraiment super de pouvoir parler avec un inconnu d’une passion commune. Les minutes tournent et toujours pas de Taz. 22h sonne.. mais le voilà qui arrive .. à l’arrache comme d’habitude. Nous tirons au sort notre table et notre place. Je tombe sur la table 18 siège 4, juste à côté d’Amélie, la copine de Nico qui est super motivée depuis sa quatrième place au même tournoi 2 saisons auparavant (et ses 4400F de gains correspondants). La tension monte et la première donne est dealée. Nous avons 1000 jetons et les blinds sont de 25 . 25 . 50 pour se premier round d’une heure où les recaves sont autorisées. Nous sommes 8 à la table, il y a pas mal d’étrangers qui ne parlent qu’anglais. Amélie ouvre fort avant le flop pour la première donne, et me couche avec mon 10 et mon 6. Le flop se révèle comporter une paire de 6. Elle se met à tapis et couche tous les autres joueurs encore dans le coup. Hum… elle a eu chaud. Ce vole de pot ne me perturbe pas car je sais pertinemment que la soirée va être longue. Les coups s’enchaînent et beaucoup de joueurs sont obligés de recaver. Les cris « Rebuy » se succèdent à une vitesse assez ahurissante. La plupart du temps les joueurs ne s’engagent qu’avec un as bien gardé ou une paire fermée, quoique certains volent les pots avec pas grand chose. Je finis par toucher une paire de rois fermée. Mon cœur accélère. Juste avant moi Amélie ouvre à 400. Je me mets à tapis (1300). Un joueur derrière me suis. Un autre hésite alors qu’il reste 3 autres joueurs à parler après lui ainsi qu’Amélie qui a ouvert. Finalement ce joueur suit avec un tapis d’environ 1200, alors qu’il n’a que 4 et 2. Un autre joueur suit et Amélie se couche. Le flop comportant un 4 ne comporte pas d’as ni de paire ni de couleur ni de quinte possibles. La quatrième ne change rien. Je crois l’emporter. Mais la cinquième s’avère être un autre 4 qui donne donc à notre joueur téméraire un brelan de 4 comme jeu max de la table. Le coup porter au moral est dur à encaisser. Mais bon, c’est aussi ça le poker. La main d’après il ne me reste plus que 300. Heureusement je touche as et roi de cœur et me met donc à tapis. Devant croire à un geste de dépit après un coup comme le précédent, 3 autres joueurs me suivent. Finalement je remporte le coup et me remet donc sur les rails avec 1200. La partie est rude et mon tapis diminue fortement, et 10 minutes avant la fin du premier round je suis obligé de recaver (je reprendrai la 156 ième recave du tournoi). Une pause est établie à la fin du premier round et c’est l’occasion de revoir Taz qui est passé à 5000 entre temps. Il était assis à la table de Claude Cohen, un champion de World Series Of Poker. Il s’en est donc bien sorti. Le second round, désormais éliminatoire est entamé, et les blinds passent à 50 . 50 . 100. J’arrive à faire monter mon tapis vers les 5000, et effectue même mon premier shoot officiel. Mais je finis par manquer de témérité dans mes coups, et me couche plusieurs fois après avoir ouvert. Finalement au bout de 3 quarts d’heures il ne me reste plus que 1200 que je joue à tapis sur une main as dame. Mais un joueur ayant paire de roi me suit et me sort du tournoi. Cette première expérience de tournoi en cercle m’aura vraiment, malgré la défaite, très agréable. J’ai pu rencontrer nombres de joueurs amicaux, j’ai pu à certains moments tirer dignement mon épingle du jeu. Comme j’aime à dire : « Si on essaie pas on ne peut pas savoir ». Mais la soirée n’est pas finie car Taz est encore en piste. Une responsable du tournoi nous annonce que ce tournoi comportait 76 joueurs et qu’il y a eu 191 recaves. 9 places seront donc payées et le gagnant empochera un peu plus de 18000F. Nico s’est également fait sorti, avec as 10. Amélie reste patiente et fait preuve de ténacité. Taz gère au mieux. Le me place derrière lui et le soutient. Il touchera une paire de dames et mettre son tapis contre un autre joueur ayant ouvert auparavant qui possédait une paire de rois, mais deux autres dames sortent sur le tableau, formant ainsi le carré, et révélant clairement que ce soir Taz sera dur à battre. Le nombre de joueurs ne cesse de diminuer et Taz s’accroche. Je compte périodiquement le nombre de joueurs restant pour informer Taz de la situation, et de son éloignement des places payées. Amélie se fait finalement sortir après être passée plusieurs fois très proche de la décave. Taz finit par arrivé en demi finale. Les joueurs sont regroupés en deux tables de 9. Restant un peu sur notre fin et voyant que Taz se débrouillait fort bien tout seul Nico, sa copine, un de leur copain et moi décidons d’aller jouer chez Julien, entre nous. Avant de partir je donne mes dernière consignes à Taz, et lui recommande de jouer prudent, serré tout ce qu’il veut, mais de surtout tous les déchirer. Taz est dans son monde, ultra concentré et son hochement de tête me laisse à penser qu’il maîtrise son affaire. Arrivé chez Julien nous entamons une petite partie tranquille, malheureusement composée uniquement de Texas et Stud high. J’ai laissé mon portable allumé pour que Taz nous tiennent au courrant de la situation quasi on live. Le temps passe, et nous nous disons que ça ne peut être que bon signe. Lorsque ma sonnerie retentit nous sommes tous surexcités. Taz nous annonce qu’il est dans les places payées, et même mieux que ça, ils ne sont plus que trois : lui et un autre à tapis à peu près équivalent et un autre joueur avec beaucoup plus de jetons. Je suis ravi et comblé pour Taz. Il assure trop. Nous aimerions être à côté de lui pour le voir, mais bon, si nous étions resté peut être que les choses se seraient passées autrement. En tout cas nous sommes tous fous de joies et nous voulons tous lui donner des conseils : jouer prudent, laisser l’autre petit tapis se faire dévorer par le gros, etc etc et je lui dis même s’aller se mettre de l’eau sur le visage. Taz doit raccrocher car pour lui le combat doit reprendre. Nous attendons tous sont nouveau coup de téléphone avec impatience. Sur les coup des 5h il nous rappelle et nous dit qu’il a fini second. C’est carrément hallucinant ce qu’il a fait. C’est une star en poker de tournoi mon binôme. Big respect for Mister Taz. Chapeau bas monsieur. Taz nous annonce la somme qu’il a remportée. Accrochez vous : 10.000F. Oui monsieur 10.000F. C’est énorme. Taz nous dira que comme la tradition le veut il se doit de remercier les croupiers et leur laissera 400F. C’est pas la classe. En tout cas, une chose est sûre, Taz est un monster, un grand joueur de poker et devra être considéré comme tel par ses futures adversaires.

 

Votre reporter préféré : MatMat Teddy KGB

 

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22h vendredi 3 mars 2001: Je suis à l'arrache, j'ai passé une salle journée et je n'ai plus trop envie d'accompagner Mat à ce fameux tournoi de printemps mais il m'a pris ma cave et je ne vais pas le laisser au milieu des requins. La première heure sera décisive pour moi car j'ai décidé de ne pas me recaver ni de prendre d'add-on. J'ai potassé un peu les livres de MacEvoy dans la semaine donc je ne suis pas complètement perdu et j'arrive à rentrer dedans. Nous sommes 8 à la table, je suis à la place 4,   Claude Cohen à la 2 (champion d'Europe si je ne me trompe pas), deux amis à lui en face de moi places 1 et 8, dont le finaliste Giles Haddad (8) que j'ai affronté en duel et qui aura été vraiment un allié providentiel pendant ce tournoi, me conseillant et m'encourageant souvent (merci Giles!!!). Bref une table de tueurs. Ma première main (paire de cow-boys) suivi d'un autre roi à la dernière (brelan) me met en confiance et me permet de prendre 700 jetons à un joueur qui a gagné récemment à un autre tournoi et qui n'a pas peur de se recaver (à mon grand plaisir) et donc de pouvoir suivre aussi les blinds pendant un bon moment. Beaucoup de jeux défilent, et je joue serré, en ratant même plusieurs flush avec des tirages comme roi-5 et dame-9 assortis (que je ne peut évidemment pas jouer avec flops à 2-3000 de relance!).Les 2 amis de Claude Cohen ont du jeu et se construisent un gros tapis. J'ai remarqué qu'ils s'enflammaient quand même facilement ne serait-ce qu'avec des petites paires, notamment les 3 pour Giles. Les coups qui m'ont fait monter mon tapis sont: paire d'as en main, nous sommes 2 à tapis et le joueur 1 nous suit: au flop 1 obtient une quinte (je me crois mort) au 6, puis tomberont 2 autres 6 qui me font full par les as (ouf) et 1 prend un coup au moral. Deuxième coup (que je n'aurai jamais du payer): au flop des nèfles, j'ai as-7 assortis et je pressens chez (3) juste à ma droite une belle paire cachée (il possède 2 jacks). Je ne peux espérer ni de couleur ni de quinte mais je me suis persuadé qu'un as allait tomber (il ne faut jamais se marier à sa main) et j'y vais: un as tombe à la dernière (c'est maintenant que je commence à comprendre pourquoi je ne trouve pas de femmes :-)) rendant fou (3) qui aura du mal à s'en remettre et partira dans une série de quelques rebuys. J'ai aussi obtenu un full aux 10 par les dames au flops (10 en main) alors que l'on m'a relancé sur mon blind. Le joueur en question ne suivra pas ma relance à tapis, mais ça fait quand même plaisir. Ce sont les 2 seuls fois où j'ai fait all-in avec la poussée d'adré qui monte par derrière et la cage thoracique qui va exploser (sensation que je recommande).Sur cette heure je ne me suis jamais vraiment pris de sérieux coup de bats, perdant ça et là quelques blinds et en volant aussi, donc je sors de la première heure avec 4000 et quelques jetons ce qui est assez léger devant les autres tapis de mes opposants (d'après Mac Evoy il faut essayer de doubler son tapis à chaque round). (1) et (8) sortent de la première heure avec un beau tapis, Mr Cohen, qui a joué très calmement un plus léger. Pour moi le plus dur est fait et je ne crois pas trop en la suite, mais je suis quand même pas trop mal. Bien sûr les yeux commencent bien à se plisser, gorge sèche, normal avec le nombre de clopes et cigares qui ont été fumés autour de moi (et je vous assure que ça vous met bien la migraine ces conneries). Mat est mal en point s'étant pris un coupe de batte qu'il n'aurait pas du prendre, il a sa cave de départ. 11h30 le tournoi reprend, les blinds ont doublé. Ma table n'a pas beaucoup évolué et j'essaie tant bien que mal de gérer. Je ferai un shoot (je ne sais plus avec quoi, désolé, as-roi contre as-dame je crois) avant que la table soit brassée et mon tapis est alors à 8000 jetons (dans la moyenne). J'arrive sur une nouvelle table avec la place (8) que je déteste puisque l'on est à gauche du croupier et que l'on ne voit de ce qui se passe à droite. J'ai l'honneur d'avoir JB (assez en mauvaise posture d'ailleurs) à cette table (l'instigateur des tables à 200 à l'ACF et 2ème du tournoi européen de Prague) et à ma gauche un gars qui fait rire tout le monde: du genre il se tâte pendant 1h pour savoir s'il va suivre une pauvre relance de JB avec une paire d'as en mai! Ou encore lorsqu'il fait all-in prononcé "au lit" (ce qui c'est d'ailleurs ;passer pour un des joueurs qui l'a suivi :-))) et qui met toujours 5min à s'apercevoir que sa main est pourrie et qu'il se couche. Donc une ambiance de franche rigolade à la table, ce qui me met bien en condition. Mon premier gros coup avec les dames en main:  Au flop   une dame et pas de carte au-dessus, m'assurant le brelan max. Pas de flush en vue. (6) fait tapis 4-500 avec les rois cachés, je paye suivi par le comique à ma gauche. Est abattu ensuite une carte qui ne sert à rien. Je fais tapis, sentant que (2) attend un petit jeu (une couleur est possible à la dernière, et je veux le chasser. Il se couche et bien mal m'en a pris de ne pas l'avoir appâté un peu, puisque la 4ème de ces demoiselles tombe à la dernière (ils m'ont tous demandé comment allait ma copine à la table... ha les femmes, le plus grand mystère de la planète). J'oublie de préciser que Mat s'est fait sortir de puis un petit bout de temps et qu'il m'informe de la santé des autres joueurs et me refilent aussi des petites pastilles VIP-gaming qui sont très rafraîchissantes soit dit en passant (merci binôme ça m'a bien aider et remotivé même). Arrivent les demi-finales (16 joueurs en tout, 2 tables) Je passe ensuite à la place (6), JB à ma droite. Mon second gros coup sera justement de le sortir avec as-roi (paire de roi au flop). Vient à sa place une anglaise. En face Giles Haddad nous a rejoint avec un tapis moyen. Je ne ferai plus de gros coups arrivant à voler des pots à des petits tapis (alors que je suis relancé de 3000). J'attends que les petits tapis disparaissent et c'est en partie mon rôle de la faire, mais cela reste vraiment dangereux. Finalement c'est sur l'autre table que tout va se faire: ils n'étaient plus que 3 avant la finale, dont 2 avec de sérieux tapis, nous étions 6 à ma table. Me voilà en finale avec un tapis qui me donnerait à priori la 5 place, je commence à y croire sérieux. Mais la lutte s'annonce terrible, d'autant plus que nerveusement ça commence à pas être trop top (la fatigue) et que la salle est embrumée de fumée. Les blinds sont à 500-1000, il n'est pas loin de 2h du mat quand nous reprenons. Je suis en place (4), une bonne place donc, Giles est à ma droite. Le leader est en place (7) et on le nomme Nicos, personnage très nerveux (pleins de tics) qui ne peut s'empêcher de râler et qui va se brouiller avec Giles (à mon grand bonheur;-)). Maintenant c'est très technique: il faut relancer les petits tapis, sentir quand un gros tapis va le faire et ne pas y aller pour ne pas gaspiller de jetons. Je regarde aussi lorsque les blinds changent pour voir si cela va mettre un petit tapis en difficulté. L'ambiance est à peu près bonne jusqu'à ce que Nicos suive Giles qui essayait de shooter l'anglaise en (1) et perde, permettant d'une part à renflouer (1) et mettant Giles en difficulté au niveau des jetons puisque ce dernier a perdu sur l'extérieure contre Nicos. Giles ne va pas le digérer et va prendre en grippe Nicos, jurant de le retrouver dans la suite (et pourtant il est mal). Des insultes fusent, Nicos est super désagréable, même avec le croupier (paye ton ambiance). (1) est finalement sortie peu après, puis je shoote (2) avec valet-roi de trèfle (il me tombera une couleur max). Les blinds sont à 1500-3000 et c'est bientôt l'heure du "chip raise" (on élimine tous les jetons de 500). Arrive un coup que je ne joue pas: je suis relancé par Nicos (il a as-roi en main) et j'ai encore les dames. Je me couche, sentant le mauvais coup. Toute la table est folle devant la main que je viens de refuser mais comme dit (8) ça n'est pas forcément évident devant as-roi. Je crois que (5) est celui qui tombe après tapé par Giles. Enfin le gros coup de la soirée: (8) (avec as-roi) fait tapis à environ 25000, suivi de (9) (un anglais bien sympa mais presque mort), puis je fais tapis à plus de 30000 (je crois) et surtout une paire de cow-boys en main et Nicos paye avec sa paire de dames, persuadé qu'il va m'assommer. Je croise les doigts tout comme Giles qui a vraiment envie que je remporte celle-là (je suis debout comme un dingue). Il tombera un flop et 2 autres cartes qui n'aideront personne: je gagne seulement avec les rois, shootant (8) et (9) du même coup, et mettant Nicos hors de lui. Décidément il faut vraiment savoir et apprendre à les écouter  ces femmes!!! Vient le tour de (6), un autre anglais que Giles va aussi shooter. Nous ne sommes plus que (3), j'ai le plus petit tapis, Giles n'est pas loin au-dessus de moi et Nicos mène. Les blinds sont de 3000-6000 (ça fait bien mal à seulement 3 joueurs).Je préfère attendre que Giles prenne Nicos, d'autant plus que les animosités se sont amplifiées. Je me couche souvent, énervant Nicos, qui fera l'erreur de me relancer 2 fois à 8000 et 12000 avec une pauvre main et il ne pourra suivre mon tapis. La pause arrive, il doit être 4h15 quand nous reprenons. Nicos est sur le point de craquer, insultant même le croupier quelques fois, j'espère qu'il va craquer avant moi... Bingo: Giles l'emmène dans un coup monstrueux (il y a possibilité de tout à la dernière, et pas une carte en-dessous du 10), obligeant Nicos à mettre les 3/4 de son tapis: Giles ouvre à 30000 alors qu'il pourrait mettre tout son tapis (je pense qu'il joue sur le fait que Nicos le connaît et qu'il essaie de lui faire croire qu'il a super jeu en l'appâtant), ça marche et Nicos se couche ayant peur d'une possible quinte (alors qu'il y avait aussi couleur et full possibles): Giles jettera sa petite paire de 3 sur le tapis, achevant Nicos moralement. Le tour d'après Nicos fait tapis et se fait shooter me hissant en final. Giles me dit alors qu'il voulait à tout pris que j'arrive 2ème et je l'en remercie beaucoup. Donc me voilà en duel avec un tapis pratiquement 7 fois inférieur à celui de Giles. Il n'y aura bien sûr pas d'arrangement, pour moi il a de toute façon été sous-entendu avant. Je bataille pendant 3/4 d'heure puis perd sur un pauvre tirage sentant que ce n'est  plus possible. Voilà, c'est fini, j'ai envie de sauter et crier un gros coup. Beaucoup de monde me félicite, notamment les croupiers et croupières, et je vais empocher une liasse de 20 billets verts (gloups), donnant 400 francs pour les croupiers qui ont quand même encore bien assurer.